dimanche 17 octobre 2021

On parle de "L'enfant qui jouait du piano dans sa tête" dans les médias...

Dans la revue Les Libraires, no. 126 : "Un album fabuleux sur la résilience, la générosité et le pouvoir de la musique."

Un doublé dans Les Libraires, le no. 128 cette fois-ci, de Lise Chiasson, de la librairie Côte-Nord : "Bel exemple d’entraide, de partage et de résilience aidant chacun à ouvrir son cœur pour accepter l’autre."

Sur le site Kristelle déniche, on dit: "Coup de cœur pour cet album poignant aux couleurs pastel sur le pouvoir de la musique et l’accueil des réfugiés... Une pépite littéraire qui réchauffe le cœur!"

Sur sa page Instagram, Carolyne Soulard (@carosou) dit : "Pour moi, qui suis enseignante dans un milieu multiculturel et qui côtoie quotidiennement des enfants venus de l’étranger, cet album fait tellement de sens ♥️."

Sur le blog Pour l'amour de mes lectures : "Belle explosion d’émotions pour cet album." 

Sur sa page Instagram et sur sa page Facebook, Cath la prof dit : "Il s'agit d'un magnifique album à ajouter à un réseau sur la guerre ou sur les réfugiés."

Livre à coeur, blogue littéraire jeunesse, dit : "C’est réellement un album qui m’a touchée pour la beauté de son message et la force de ses thèmes. C’est un livre très intéressant à présenter autant aux plus jeunes qu’aux grands!"

Le Caribou à lunettes dit : "💚 C'est tout doux pour aborder un sujet si traumatisant.
Doux autant par son texte que ses illustrations."

Au boulevard du livre dit : "C'est une magnifique histoire sur la guerre et ses conséquences, l'immigration et le pouvoir de la musique."

Sur le site Les mille et une pages LM, coup de coeur de Lynda : "Une belle histoire qui explique très bien ce que les immigrés doivent vivre, leurs adaptations et leurs sacrifices. Comment nous, qui les accueillons chez nous, pouvons les aider à sentir bien." 

La Bookineuse a dit : "Un bel album qui décrit les émotions à la perfection. On y aborde entre autres les thèmes de la guerre, de la réalité des réfugiés, de la famille, mais surtout de la musique et son grand pouvoir."

Madame Anne Pédago a lancé ce conseil aux enseignants et enseignantes : "N'hésitez pas à l'ajouter dans votre réseau sur ce thème."

mardi 5 octobre 2021

En librairie dès le 6 octobre

Magnifiquement illustré par Isabelle Malenfant, ce nouvel album est publié aux Éditions de la Bagnole.

Dans le nouveau pays d'Akim, tout est différent. Il y a tant de choses à apprendre en même temps! Et d'autres qui semblent perdues pour toujours, comme ce piano dont il adorait jouer. Mais voilà qu'un matin, sur le trottoir...

 


mercredi 22 mai 2019

Le Prix Philippe-Béha

C'est aujourd'hui qu'avait lieu la remise du Prix Philippe-Béha, un prix attribué à un album jeunesse d'un auteur de la Montérégie par l'AAM (Association des auteurs de la Montérégie). Je suis très heureuse d'être la lauréate du prix cette année, pour L'enfant qui n'avait jamais vu une fleur.

Le jury a dit: "Un texte doux, poétique, très d'actualité. Il traite d'espoir et de beauté, non de la guerre et de sa laideur. Il dévoile également une très belle relation intergénérationnelle entre Samia et Mayi. Cette histoire constitue une excellente ouverture afin d'entreprendre une discussion avec les enfants."

Les autres finalistes à ce prix étaient Pierrette Dubé, pour Petite histoire pour effrayer les ogres, et Jean-François Sénéchal, pour L'enquête secrète du fantôme de l'école.

mardi 5 juin 2018

Le Prix Chronos!

Oussama Mezher et moi venons de remporter un deuxième prix en France pour notre album L'enfant qui n'avait jamais vu une fleur, publié aux Éditions de la Bagnole en 2017! Il s'agit du Prix Chronos de littérature, catégorie CE1-CE2. La remise des prix a eu lieu le 4 juin à Reims (sans notre présence, étant donné la distance...), en présence d'enfants, de personnes âgées, d'institutionnels et d'élus.

"Créé en 1996 et désormais porté par l’Uniopss, acteur engagé pour développer les solidarités, le Prix Chronos de littérature propose aux jurés lecteurs, dès le plus jeune âge, de découvrir des ouvrages ayant pour thèmes les relations entre les générations, la transmission du savoir, le parcours de vie, la vieillesse, la mort…" 

Le Prix Chronos est un prix de lecteurs, et cette année, 6850 jurés étaient inscrits dans la catégorie CE1 CE2 (l'équivalent des 2e et 3e années ici), pour la plupart des enfants mais aussi leurs accompagnateurs et des personnes âgées.

Gagner un prix de lecteurs, c’est la plus belle consécration, car lorsque l’on écrit une histoire et que l’on crée des illustrations, on le fait avec nos propres valeurs et notre parcours de vie, mais surtout, on le fait pour les jeunes, en pensant aux jeunes. Et quand on sait qu’on a atteint notre objectif, c’est une très bonne nouvelle pour nous. Savoir que de l'autre côté de l'Atlantique la majorité de 6850 jurés ont voté pour notre album, ça nous fait très, très chaud au cœur. 

Pour voir la sélection dans toutes les catégories, c'est ici

mercredi 21 mars 2018

Finaliste au Prix Espiègle

Le 20 février dernier, l’Association pour la promotion des services documentaires scolaires (APSDS) a dévoilé les finalistes de la deuxième édition du Prix Espiègle, le prix des bibliothèques scolaires du Québec. 
L'enfant qui n'avait jamais vu une fleur, illustré avec brio par Oussama Mezher et publié aux Éditions de la Bagnole, est finaliste dans la catégorie 5 à 11 ans. #bonheur!
Ce qu'est le Prix Espiègle: "Le Prix Espiègle met en vedette des livres audacieux, malicieux et qui osent. Ce type de livre est souhaité et nécessaire en bibliothèque scolaire, mais trop souvent absent. L’APSDS fait le pari que les élèves du Québec aspirent à un lieu qui fait réellement confiance en leur capacité à former leur jugement critique et qui leur offre aussi des livres qui sauront les émouvoir, les bouleverser, les déstabiliser. Un lieu de rêve qui offre, sans peur aucune, des livres éclectiques. Tous les finalistes au prix Espiègle méritent une place de choix dans les audacieuses bibliothèques scolaires québécoises."

lundi 13 novembre 2017

Au Salon du livre de Montréal

Voici l'horaire de mes séances de dédicace au Salon du livre de Montréal:

Au stand 116 des éditions de la Bagnole, pour L'enfant qui n'avait jamais vu une fleur:

Samedi le 18 novembre
11 h à 12 h
13 h à 14 h

Dimanche le 19 novembre
13 h à 15 h

Au stand 342 de Ma bulle, pour Mamie, papi et Dafné:

Samedi le 18 novembre
14 h à 15 h

Dimanche le 19 novembre
15 h à 16 h

Je vous y attends!

samedi 14 octobre 2017

Le Prix Saint-Exupéry!

Mercredi dernier avait lieu en France la remise du Prix Saint-Exupéry. C'est mon album L'enfant qui n'avait jamais vu une fleur, illustré par Oussama Mezher et publié aux Éditions de la Bagnole, qui a gagné le prix pour la sélection francophonie! 

Le Prix Saint-Exupéry est un prix international qui récompense des œuvres littéraires de langue française destinées à la jeunesse qui portent les valeurs de l’oeuvre d’Antoine de Saint-Exupéry, soit: l’audace, celle des premiers vols de nuit;  le courage de surmonter les obstacles et la volonté de survie; la solidarité en cultivant la fraternité; et la sagesse, celle de discerner et de dépasser les dimensions trop matérielles.

J'en suis d'autant plus ravie que ce sont de jeunes lecteurs qui ont choisi l'album gagnant!

vendredi 8 septembre 2017

Les libraires craquent...

Le site Leslibraires.ca recommande L'enfant qui n'avait jamais vu une fleur. Leur phylactère "Oui!" est apposé sur la couverture...

L'enfant qui n'avait jamais vu une fleur, Oussama Mezherillustrations de Oussama Mezher

Une suggestion jeunesse par la librairie Monet

"Cette histoire peut en faire réfléchir plus d'un sur la chance de grandir dans un pays ou il n'y a pas de guerre. Une fleur, quoi de plus banal pour nous qui sommes habitués d'en voir régulièrement. Il nous est impossible de concevoir qu'il est possible de ne jamais en avoir vu une seule dans sa vie. C'est pourtant le cas de cette fillette née dans un camp de réfugiés. Un vieil homme va sacrifier son bien le plus précieux pour donner la chance à cette fillette de pouvoir voir et cultiver une fleur. L'espoir et la générosité sont deux thèmes abordés dans cet album aux images qui nous font vivre l'émotion des personnages. Cet album nous touche droit au cœur et vous ne pourrez contenir la larme qui vous viendra à l’œil." - Suggéré par Maude Blondin

mardi 9 mai 2017

On en parle dans les médias...

Depuis sa parution au début mars, L'enfant qui n'avait jamais vu une fleur a fait parler de lui...

À l'émission du 8 avril de Samedi de lire, par Amélie Boivin Handfield
À l'émission du 16 mars d'Entrée principale, à Radio-Canada, par Vincent Bolduc
Dans LaPresse+ du 3 avril

Dans l'édition du 25 mars du Journal de Montréal, par Anne-Marie Lobbe: "Un superbe récit qui porte grandement à réfléchir et qui nous touche droit au cœur."

Sur le site Mitsou.com, par Alex Marsolais: "S’en suivra une histoire touchante, déchirante, bouleversante, où un peu d’humanité sera perceptible, dans ce paysage si beige."

Sur le site de Campagne pour la lecture, par Isabelle Jameson: "Une histoire difficile, qui nous force à nous remettre en question, mais magnifiquement racontée, aussi bouleversante que nécessaire."

Sur le blogue Le fil rouge, par Martine Latendresse Charron: "Publié chez les éditions La bagnole dans la collection « La vie devant toi », cet album jeunesse arrive à merveille à nous toucher, petits et grands, et à nous faire réaliser toute la dureté de la vie dans un camp de réfugiés. Je crois que cet album aborde des thèmes nécessaires et qu’il créera des discussions riches entre parents ou enseignants et les enfants. "

Sur Planète F Magazine, par Nadia Lévesque: "Je suis persuadée que ce livre devrait être lu à la maison, mais également en classe. Il permet d’ouvrir le dialogue entre les enfants."

Sur Instagram, par unautrebloguedemaman: "Une magnifique histoire, extrêmement touchante. De celles dont on se souviendra probablement toujours."

Sur le site Marginale et heureuse, par Marie Noelle Marineau: "... c’est un excellent livre pour ouvrir des discussions avec les enfants sur le monde,..."


Sur le site Les lectures de Nadia, par Nadia Lévesque: "J'apprécie les contes qui me permettent d'aborder des sujets plus délicats avec mon enfant. Je suis persuadée que ce livre devrait être lu à la maison, mais également en classe."

Sur le site Bible urbaine, par Marie-Michèle Martel: "L’enfant qui n’avait jamais vu une fleur véhicule un message puissant."

Au Cochaux show, par Sylvain Dodier: "C'est un album sur l'espoir qui naît partout où se croisent les rêves d'un enfant et les souvenirs d'un vieux monsieur... Ce livre, vous ne pouvez pas ne pas en posséder un exemplaire..."

Sur la page de Livres ouverts: "Cet album aborde de façon sensible la situation des réfugiés de pays en guerre."

Sur le site Kaléidoscope.

Sur le site Les méconnus: "Un livre très touchant qui permet d’offrir une voix, et des images magnifiques, à d’autres réalités, puis de sensibiliser ses lecteurs et ses lectrices."

Sur le site du Prix Chronos 2018.

Sur le site Atuvu.ca: "Les dessins de Mezher respectent tout à fait le ton donné par l’histoire, puisqu’à travers la constance des couleurs, les teintes verdâtres et les détails, l’illustratrice arrive à bien dépeindre la situation des personnages,..."

Sur le site Je suis une maman: "Le livre nous enseigne aussi que, même dans la plus grande des misères, il existe de l’espoir."

À l'émission Les éclaireurs, à Radio-Canada. Denis Fortier dit: "Faut pas les oublier, ces enfants-là..."

Merci d'avoir parlé de cet album, et des merveilles illustrations d'Oussama Mezher!

samedi 4 mars 2017

La générosité existe...

Oui, la générosité existe. Le don de soi, le geste d'amour, la main tendue vers l'autre. Les preuves sont là, autour de nous, par exemple les familles qui, dans le confort de leur vie nord-américaine, accueillent des réfugiés. Mais il y a sûrement des milliers de gestes qui nous sont inconnus, qui surviennent tous les jours dans les camps de réfugiés ou les zones en guerre. J'en ai imaginé un, de ces gestes. Auparavant, une image m'a habitée longtemps... Une phrase prononcée par une dame que j'admire, Louise Arbour, alors qu'elle était Haute-Commissaire des Nations Unies aux droits de l'homme, de 2004 à 2008: "Vous rendez-vous compte que cette enfant-là n'a jamais vu une fleur de sa vie?"

Le résultat est cet album magnifiquement illustré par Oussama Mezher, publié aux Éditions de la Bagnole.

En littérature jeunesse, on nous demande souvent "C'est pour quel âge?". Pour cet album, je répondrais qu'il n'y a pas d'âge... Dès qu'un enfant aura entendu parler de guerre, on pourra lui lire cette histoire. Et la lui relire quand il aura 8 ans, 12 ans, 16 ans...

vendredi 17 février 2017

Au Salon du livre de l'Outaouais

Je serai au Salon du livre de l'Outaouais la semaine prochaine, au kiosque de Soulières éditeur (stand 215)! 



Jeudi le 23:       de 10 h à 12 h
Vendredi le 24: de 13 h à 15 h
Samedi le 25:   de 10 h à 12 h

mercredi 9 novembre 2016

Au Salon du livre de Montréal 2016

Je vous attends très bientôt au Salon du livre de Montréal. Je serai au stand de Soulières éditeur - stand 472 - pour La mascotte de la bibliothèque, et au stand de Ma bulle - stand 318 - pour Mamie, papi et Dafné.

Voici mon horaire:
(Attention, l'horaire indiqué sur le site du SLM diffère un peu de celui-ci pour le jeudi, et celui inscrit dans la version papier du Salon comporte une erreur. Il y est écrit que je serai présente le vendredi, alors que c'est le samedi que j'y serai.)

Jeudi le 17 novembre:
11 h à 12 h au stand 472
13 h à 14 h au stand 472
14 h à 15 h au stand 318
17 h à 18 h au stand 472

Samedi le 19 novembre:
11 h à 12 h au stand 472
13 h à 14 h au stand 472
14 h à 15 h 30 au stand 318

J'en profite pour rappeler que des fiches pédagogiques sont disponibles en ligne pour ces deux titres, ici pour Mamie, papi et Dafné, et ici pour La mascotte de la bibliothèque.

Au plaisir de vous rencontrer!

vendredi 16 septembre 2016

Un nouveau roman cet automne

Illustré par Paul Roux.
Un roman d'aventures, illustré par Paul Roux. Ce roman est publié dans un chouette format carré de la collection Ma petite vache a mal aux pattes, chez Soulières éditeur. Il intéressera les jeunes lecteurs qui aiment les animaux, les bibliothèques, les bibliothécaires, l'aventure, la peur... et les biscottis.

Un  résumé

Quand Bibi la biche ne se présente plus à l’arrière de la bibliothèque Hubert-Doré comme elle a l’habitude de le faire tous les jours, c’est la consternation chez les abonnés. Manoé et Nana, deux jeunes débrouillards, sont particulièrement tristes de la disparition de celle qui est considérée comme la mascotte de la bibliothèque. Ce sentiment est partagé entre autres par Fabien, le bibliothécaire jeunesse. Il épaule les jeunes lorsque leur inquiétude les pousse à imaginer des moyens pour faire revenir Bibi, ou tout au moins pour trouver une explication à son absence. Sa nourriture préférée pourra-t-elle l’attirer? Une nuit à la belle étoile permettra-t-elle de l’observer en cachette? Et si la réponse se trouvait dans la forêt même? Manoé et Nana sont si enthousiastes dans leur quête qu’ils en oublient les plus élémentaires précautions. La disparition des deux jeunes s’ajoutera-t-elle à celle de Bibi?

La mascotte, j'en ai parlé ici, en mars 2014, alors que j'étais en résidence à la bibliothèque Raymond-Lévesque, de Saint-Hubert, grâce à une bourse – résidence de création Libraire Alire – qui m'avait été octrocyée par le Conseil des arts de Longueuil.

En plus de Bibi, des enfants et des bibliothécaires, on retrouve dans ce roman un vieil Italien, inspiré de l'homme dont j'avais parlé ici. D'où les biscottis...

Bonne lecture!

lundi 8 août 2016

Le #12août

Oui, le #12août, j'achète un livre québécois!
Illustration: Bach Illustrations

Et je précise: Le 12 août, j'achète un livre jeunesse québécois!
L'événement, qui en est à sa troisième édition, attire maintenant l'attention des médias et des libraires outre-mer.
La libraire belge TuliTu en parle sur sa page Facebook et sur son blogue. Chouette!
Et la Librairie du Québec à Paris arbore l'affiche du 12 août en photo de couverture.



mardi 3 mai 2016

Un tirage pour la fête des Mères

La charmante maison d'édition Ma bulle fait tirer un exemplaire de mon album Mamie, papi et Dafné pour la fête des Mères. C'est ici:

Bonne chance!

jeudi 10 mars 2016

Un coup de coeur pour Dafné et les Doudoux

La parfaite maman imparfaite a déclaré un coup de cœur lecture pour Dafné et les Doudoux sur son blogue.

"Parce que tout est parfait dans ces livres : le format, les illustrations, les rimes, les personnages… je peux vous garantir que ce sont des livres à avoir absolument dans la bibliothèque familiale. Le coup de cœur sera contagieux promis juré!"
Crédit: Davsav photo


vendredi 12 février 2016

Salon du livre jeunesse de Longueuil

Samedi le 13 février, je serai au Salon du livre de Longueuil de 11 h 45 à 13 h, au stand de la librairie Alire. J'y aurai une séance de signature pour Mamie, papi et Dafné, aux côtés de Diane Primeau, éditrice et maman de la collection Dafné et les Doudoux. Et je parie que les Doudoux seront là aussi!
Au plaisir de vous y voir!

P. S. J'accepte les cœurs en chocolat ;-).

jeudi 4 février 2016

Une fiche pédagogique pour Mamie, papi et Dafné

La plus que complète fiche pédagogique pour Mamie, papi et Dafné vient tout juste d'être mise en ligne! Douze pages d'activités  oui, 12 pages !  conçues et rédigées par Annie Lalonde, dans une mise en pages colorée et dynamique, à la hauteur de la série d'albums Dafné et les Doudoux. Il y est inscrit, dans le bas des pages: © Ma bulle éditeur 2016 – Matériel reproductible à usage institutionnel ou privé – www.doudoux.club. Alors cliquez sur cette première page de la fiche pour avoir accès à ce bijou de matériel pédagogique et pour pouvoir l'imprimer.

Vous retrouverez les liens pour avoir accès aux fiches pédagogiques de mes publications sous l'onglet "Fiches pédagogique" en haut de la page.

mercredi 2 décembre 2015

On parle de Mon beau sapin

Le temps est au gris, El Niño s'annonce, mais le sapin reste toujours beau! Et on dirait que pour narguer Mère Météo, les gens décorent leur(s) sapin(s) plus tôt cette année. Déjà, le soir, par les fenêtres des maisons, on peut voir des sapins de Noël illuminés! C'est tôt... mais ça réchauffe la maisonnée!
On parle de Mon beau sapin ici, sur le site de la SDM:
"Une ode tendre et poétique à un emblème de l'hiver et de la fête des petits,..."
On lui donne le plus haut indice de valeur/utilité, soit 5 (très recommandé).

Sur le site J'enseigne avec la littérature jeunesse...
"Un album à structure récurrente qui nous interpelle, que l’on a envie de lire et de relire. Des illustrations magnifiques, collaborant avec les mots."
  
Et Marie Fradette en a parlé ici, dans Le Devoir du 2 décembre:
"La simplicité et la beauté des vers se lient au trait tendre et léché d’Anik Gagnon dans lequel le détail invite aussi à la poésie."

Et Les p'tits mots-dits l'ont choisi dans leur sélection de Noël. Voir sur Instagram

jeudi 12 novembre 2015

Au Salon du livre de Montréal 2015

Venez me rencontrer au Salon du livre de Montréal! Voici mes heures de présence aux stands des Éditions de l'Isatis (stand 564) et de Ma bulle (stand 659) :

Jeudi 19 novembre
10 h à 11 h       Mon beau sapin, chez Isatis
13 h à 14 h 30  Mamie, papi et Dafné, chez Ma bulle

Samedi 21 novembre
11 h à 12 h       Mamie, papi et Dafné, chez Ma bulle
14 h à 15 h       Mon beau sapin, chez Isatis
15 h à 16 h 30  Mamie, papi et Dafné, chez Ma bulle

Dimanche 22 novembre
12 h à 13 h       Mamie, papi et Dafné, chez Ma bulle
15 h à 16 h       Mamie, papi et Dafné, chez Ma bulle

jeudi 5 novembre 2015

Vous connaissez le roi des forêts?

Bien sûr que vous connaissez le roi des forêts: le sapin!
Voici ma deuxième nouveauté de l'automne: Mon beau sapin, publié aux Éditions de l'Isatis, dans la collection Clin d’œil. Cet album à couverture cartonnée est brillamment illustré par Anik Gagnon.

Il est maintenant disponible en librairie et en version numérique.
Un extrait:
Un sapin c'est...
"La promesse d'un parfum de saison dans la maison"

mardi 20 octobre 2015

Un beau dimanche après-midi

Il y avait Nathalie, une libraire passionnée qui adore les peluches.
Il y avait Diane et Philippe, non moins passionnés et formidables éditeurs.
Il y avait la talentueuse Julie Cossette, L'illustratrice avec un grand L de la collection Dafné et les Doudoux.
Il y avait l'excellente Katia Canciani, qui a écrit Courage, Dafné!, l'autre album lancé en même temps que Mamie, papi et Dafné.
Il y avait la dynamique Annie Lalonde qui rédige les fiches d'activités de la collection.
Il y avait des bulles (c'est la maison d'édition Ma bulle, après tout!), un tirage, les peluches Doudoux et beaucoup de fébrilité.
Il y avait surtout les amis, la parenté, les gens qui avaient répondu à l'invitation, le petit Julien qui dormait dans sa poussette jusqu'au moment où Katia et moi avons commencé à lire...
C'était un beau dimanche après-midi à la librairie Alire!
Avec Clafoutis et Moka - Photo de Philippe Barey

Photo de Philippe Barey

jeudi 8 octobre 2015

Lancement à la librairie Alire

Je vous invite au lancement de Mamie, papi et Dafné  à la librairie Alire, dimanche le 18 octobre à 13h30. Amenez vos enfants, petits-enfants, neveux, nièces, petits-cousins, petites-cousines! Ce sera la fête!

mercredi 30 septembre 2015

Mamie, papi et Dafné

Mamie, papi et Dafné est maintenant en librairie!

Une histoire pour les tout-petits, dès 2 ans et demi. C'est un superbe album à couverture coussinée, publié chez Ma bulle et illustré par Julie Cossette, l'illustratrice de la charmante collection Dafné et les Doudoux. Julie trace et colore des scènes de vie avec beaucoup de finesse et de tendresse.

Le résumé:
Avec ses grands-parents, Dafné fait mille et une choses qu’elle aime.
Au retour à la maison, pas facile de retrouver la routine de papa et maman.
Grâce aux Doudoux, Dafné comprend que parents et grands-parents
ont des rôles différents… et qu’elle peut toujours compter sur mamie et
papi pour passer du bon temps!

Mamie, papi, grand-papa, grand-maman... C'est chouette, les grands-parents!

Merci à Diane Primeau, éditrice et créatrice de la collection, de m'avoir offert cette belle occasion de parler de la relation grands-parents/petits-enfants.

Il y aura un lancement dont je vous reparle bientôt!

jeudi 24 septembre 2015

Bientôt en librairie

Deux chouettes albums cartonnés seront bientôt disponibles en librairie:

   

Mon beau sapin, illustré par Anik Gagnon et publié aux Éditions de l'Isatis.
Mamie, papi et Dafné, illustré par Julie Cossette et publié chez Ma bulle.
J'en reparle très bientôt.

mardi 11 août 2015

Le 12 août, j'achète un livre québécois!

C'est demain! Participez à la deuxième année de l'événement Le 12 août, j'achète un livre québécois! Allez bouquiner dans votre librairie indépendante préférée ou achetez en ligne sur un des sites québécois tels que Les libraires.


mardi 9 juin 2015

À l'Île-du-Prince-Édouard, une communauté francophone engagée

La semaine dernière, j'ai participé à une tournée littéraire dans les écoles francophones de l'Île-du-Prince-Édouard. Cette tournée a été rendue possible grâce à l'initiative des bibliothèques publiques de l'Île-du-Prince-Édouard, de la Commission scolaire de la langue française et du Conseil des arts du Canada. C'est Lori MacAdam, coordinatrice des services de bibliothèque en français, qui était la maître d'oeuvre de cette tournée. Je la remercie encore pour cette belle occasion et pour tout le support qu'elle m'a apportée tout au long de la semaine. 

Allez lire l'historique des écoles francophones sur l'île ici. Des 60 écoles pour les Acadiens dans la première moitié du XXe siècle à l'Île-du-Prince-Édouard, il n'en restait qu'une à la fin des années 1970. Une seule! Il y en a maintenant six, réparties sur le territoire de l'île. Vous imaginez ce qu'il a fallu de détermination pour remonter la pente et ajouter ces cinq écoles? Pour sauvegarder la langue française là-bas? Pour faire passer la Loi sur les services en français en 2013?

Parce que les francophones de l'île tiennent non seulement à assurer une éducation en français à leurs enfants, mais aussi à leur fournir un espace culturel en français. Depuis deux ans, une équipe de gens du Ministère de l'éducation et de la petite enfance, de la Commission scolaire francophone, des bibliothèques publiques, entre autres, organisent un salon du livre uniquement francophone. Dans le cadre de ce salon, de nombreuses animations sont organisées, particulièrement auprès de la clientèle scolaire: écoles francophones et écoles en immersion.

Du 4 au 7 juin s'est donc tenu le 2e Salon du livre de l'Î.-P.-É. De nombreux bénévoles ont fait en sorte qu'un tel salon du livre puisse accueillir de nombreux auteurs du Québec. Ils ont assuré notre transport, notre confort et nous ont font sentir, chacun de nous, importants. Quel plaisir de discuter avec eux le temps d'un trajet en voiture! Un Québécois qui a suivi son amoureuse à l'île, un natif de la Nouvelle-Écosse ou du Nouveau-Brunswick qui est venu s'établir à l'île pour son travail, une native de l'île qui y vit toujours avec son mari Français. Des gens dont la ferveur à préserver le français dans les Maritimes est admirable. Merci à Diane, Gloria, Hervé, Jean (prononcer "Gene"), Denis, Aline, Josée, et tant d'autres - j'aimerais me souvenir de tous les noms!  

Au cours de mon séjour là-bas, j'ai eu l'impression que les francophones étaient partout. Pourtant, ils ne sont pas si nombreux. Des 138 435 habitants de l'île en 2011, 5 195 étaient de langue française (langue maternelle et langue parlée le plus souvent à la maison), soit 3,8 % de la population totale de cette province. Voir ici les données du recensement de 2011. 

Pendant cette semaine, entre deux rencontres scolaires ou deux séances de signature, nous les auteurs avions parfois le temps de profiter la beauté de l'île, de son air salin apaisant, de ses mets délicieux, de rencontres inoubliables. Et comme pour ma part j'ai parcouru plusieurs régions de l'île et que j'aime prendre des photos, en voici un aperçu:

Admirer la cour d'une école
La cour de l'école Saint-Augustin, à Rustico


Entre deux écoles:
Visiter une usine de laine - MacAusland's Woollen Mills - où on reçoit la laine à peine tondue, l'odeur en est témoin... On y fabrique des couvertures, des bas, des mitaines et des... balles de laine.
Capter une oie en plein vol (dans le bas de la photo)

Faire une promenade à North Rustico grâce à ma charmante accompagnatrice, Lori MacAdam

Faire une ballade dans Charlottetown en fin de journée
 
Les feuilles des arbres à peine ouvertes
 S'emplir la vue des tulipes toutes écloses. L'impression d'avoir eu deux printemps cette année.
Manger du homard

Manger du homard en excellente compagnie
Le reste ne se raconte pas. Il se vit. Comme l'a si bien dit Simon de Jocas, éditeur aux 400 coups: "Ce qui se passe à l'île reste à l'île."
Longue vie au Salon du livre de l'Île-du-Prince-Édouard. Longue vie à notre belle langue française, défendue avec ardeur par des communautés engagées.

dimanche 26 avril 2015

Et on fait quoi avec les bibliothèques scolaires?

La semaine dernière, j'ai rencontré les élèves d'une école primaire en Montérégie. Une belle école, une belle équipe, des élèves qui avaient lu mes livres et qui avaient même fait des dessins et des affiches en préparation de ma visite. Un contexte idéal pour des rencontres réussies.

Dans cette école, c'est l'orthopédagogue qui tient la bibliothèque à bout de bras. Elle doit bien avoir autre chose à faire, cette professionnelle qui a étudié pour devenir orthopédagogue et non bibliothécaire. Oui, oui, son travail comme orthopédagogue l'occupe à plein temps. Mais elle assume en plus le maintien de la bibliothèque. Par dévouement ou passion, allez donc savoir ce qui anime ces gens qui en font toujours plus. Les enfants viennent l'aider, parfois. Les enseignants enregistrent les prêts de livres de leurs élèves (eux aussi n'ont rien d'autre à faire... par exemple, conseiller leurs élèves dans leurs choix de lecture). Bon, après tout, elle réussit à rouler, cette bibliothèque! De quoi se plaint-on? Surtout que plus personne ne s'offusque du fait que les bibliothèques scolaires sont dépourvues de bibliothécaires (lire: une personne formée pour acheter les livres, les classer, pour aider les élèves, organiser des activités autour des livres, faire la promotion de la lecture, etc.).

Ce que cette orthopédagogue m'a dit, c'est que l'école a un budget chaque année pour l'achat de nouveaux livres. Merveilleux, criera-t-on! Cette anecdote manque de suspense, de drame ou de grands blessés, me direz-vous. C'est ici que le punch arrive... Personne à la commission scolaire ou au ministère de l'Éducation ou je ne sais où n'a pensé à prévoir un budget pour protéger les livres, pour les recouvrir, pour les renforcer, pour leur permettre une durée de vie raisonnable. Alors au bout d'un an, assaillis par des centaines de petites mains, les livres sont usés, détériorés, souvent inutilisables.
Cherchez l'erreur.

Mais rassurez-vous, personne n'en meurt. Et la bêtise survit très bien, madame la Marquise.